Vos concerts mémorables!!!

Je suis allée au concert avec une amie, dont le pseudo internet est Valiel, qui sera donc utilisé ici. (...) Et nous avons donc découvert l'Olympia. Quelle salle géniale ! Non seulement elle est belle (du rouge partout, c'est la classe impériale !) mais en plus elle est plutôt petite, hyper intimiste, douillette, et l'accoustique y est formidable. La première partie était assurée par un groupe que je ne connaissais pas du tout, Foals, une bande de petits jeunes super énergiques (en particulier le batteur. Bon sang, qu'est-ce qu'il donne ce petit !) et franchement sympas à écouter. Un petit bémol : les basses étaient un petit peu trop saturées, au point d'étouffer parfois la voix du chanteur.

Petit coup de gueule contre ces crétins de parisiens : non seulement un bon quart de la salle a débarqué PENDANT la première partie (donc non seulement ils gênent tout le monde en allant s'asseoir, mais en plus ils font preuve d'un irrespect scandaleux envers les artistes) mais en plus certains ne sont même venus que pour Snow Patrol, donc après la première partie ! C'est vraiment un comportement que je ne supporte pas. Les gens sont des butors. Enfin bref.

Pendant l'entracte (entre Foals et Snow Patrol), Valiel et moi avons regardé le staff installer les instruments, et c'est seulement à ce moment-là, en voyant un petit blondinet hyper fier tester la guitare de Gary (reconnaissable de loin avec le sticker "Celt" et la courroie rayée noire et blanche) que j'ai commencé à réaliser que ça y est, le grand moment était arrivé (je suis lente, je sais).

Oh bon sang, faites que je survive jusqu'à la fin ...

20h49, les voilà, enfin. En hommage au public parisien, ils ont ouvert le bal (après nous avoir souhaité la bienvenue en français et avoir chanté les louanges de leur première partie) avec Open You Eyes, en passant une projection, sur le mur derrière eux, du clip de la chanson, tourné à Paris. Ca peut paraître anodin, mais cette petite attention reflète totalement l'état d'esprit de ces adorables artistes : ils donnent, tout le temps, toujours, sans jamais compter. Ils sont là pour nous, pour le public, toujours prêts à faire plaisir, à dire un mot gentil, à faire un geste d'amitié envers leurs fans. C'est totalement démentiel. Et tellement rare.

Tout le concert a été un ravissement extatique total. Ils ont été extraordinairement généreux avec nous. Je ne me souviens malheureusement pas de l'ordre exact des évènements (tellement mon cerveau était propulsé hors de ma boîte crânienne), mais je vais vous les livrer en vrac, dans le désordre, parce que vraiment, il FAUT que vous le sachiez. Il faut que vous sachiez à quel point ces petits gars sont adorablement gentils avec leur public.

Je savais que Gary était une piplette incorrigible, mais pas à ce point-là ! Ils nous a parlé tout le temps ! Il a très vite arrêté le français (avec tout de même un petit clin d'oeil à la langue de Molière pendant Take Back The City, où il a remplacé un "tonight" par "ce soir") mais il parlait dans un anglais très compréhensible et j'ai été agréablement surprise de constater que je comprenais facilement tout ce qu'il disait. L'une des groupies dans la fosse brandissait un panneau, il l'a lu et lui a rendu hommage entre deux chansons, en signalant qu'elle venait de Montréal exprès pour les voir et que pour la remercier de ce voyage il lui dédiait la chanson suivante (le bol !). Il a également dédié une autre chanson à un groupe de fans sur le balcon qui se montraient particulièrement enthousiastes. Valiel et moi avons échangé un regard, hallucinée : c'était vraiment trop mignon de sa part ! Et vous en connaissez beaucoup, vous, des artistes qui disent "merci" à la fin de CHACUNE de leurs chansons ?

J'ai adoré la façon dont il a intégré le public au show. Il était tout le temps en train de nous parler, de nous appeler, il est même descendu de scène pour aller toucher les mains des groupies de la fosse ... Et puis il est tellement drôle ! Le pauvre a eu un gros trou de mémoire pendant You Could Be Happy, du coup il a essayé de gagner du temps en nous demandant de faire des "vagues" avec nos bras, mais, voyant que la mémoire ne lui revenait toujours pas, il s'est lancé dans une tirade en nous disant que les mouvements de nos bras étaient vraiment beaux, qu'ils lui rappelaient le vent dans l'herbe, que c'était une forme de yoga-relaxation ... On était tous morts de rire (j'ai vu Tom pouffer dans ses claviers, juste derrière). Shut Your Eyes a été un très grand moment aussi, puisque c'est une chanson avec un choeur qui est très propice à un échange avec le public. A la fin, on ne s'arrêtait pas de chanter et Gary faisait mine de vouloir reprendre la parole sans y parvenir, en rigolant dans son micro. Sans oublier la "sexy part of the show" (un monologue délirant où Gary a fait éteindre les lumières en nous disant d'allumer nos téléphones ou n'importe quoi pour faire de la lumière ("even a torch or a naked flame, I don't know") et nous a dit, dans le noir, "we are gonna to do something in the darkness ... not what you think"), où il nous a aussi fait faire un crescendo, sur cette même chanson, en commençant dans un murmure et en chantant de plus en plus fort ("louder ... louder ... LOUDER !!"). Démentiel.

Je m'attendais à une séance pelotage sur Crack The Shutters (vu qu'à chaque live que j'ai vu de cette chanson, Gary enlace langoureusement l'un de ses camarades, généralement Nathan), et cette fois c'est Tom qui a eu droit au "Run your hands from my neck to my chest". Un petit clin d'oeil subtil également à la phrase "your hills and valleys are mapped by my intrepide fingers", où Gary à fait pianoter ses "fingers" en question (d'une longueur exceptionnelle soit dit en passant) sur le manche de son micro. Huhuhu.

Dans la veine cuicui d'amour dans les roseaux, nous avons eu, évidemment, les deux chansons grâce auxquelles Snow Patrol a enfin rencontré le succès qu'ils méritent : Run et Chasing Cars. On les écoute tout le temps, ils les chantent à chaque fois (ou presque), on pourrait croire qu'à force on finirait par en être écoeurés, mais pas du tout, bien au contraire. Elles offrent toujours des moments aussi magiques, d'une beauté époustouflante, d'une intensité à pleurer (d'ailleurs, sur Run, j'étais vraiment au bord des larmes. La gorge me serrait tellement que c'en était presque douloureux, et j'avais l'impression que tous mes poils allaient jaillir hors de ma peau tellement ils étaient dressés !).

Nous avons aussi eu droit à Chocolate (bon sang que j'AIME cette chanson !!), Hands Open (où l'on a tous brandi nos mains ouvertes à chaque refrain), If There's A Rocket, Tie Me To It (celle-là aussi, qu'est-ce que je l'aime !!!). C'est incroyable comme ils savent donner à leur public. Je ne voyais malheureusement pas très bien Pablo, de là où j'étais (il était caché par l'avancée du balcon) mais je voyais très bien leurs sourires (celui de Gary brillait dans les projecteurs parfois, ça faisait tellement plaisir !), l'énergie contagieuse de Jonny à la batterie, Tom derrière ses claviers (mince, je ne voyais pas ses doigts ... moi qui voulais le copier sur mon piano ... !), Nathan qui se penchait tellement vers la fosse que parfois on aurait dit qu'il allait basculer dans la foule ... Ils étaient totalement tournés vers le public.

Pour la première fois, j'ai pu écouter The Golden Floor en live, la chanson qu'ils définissent comme un échantillon de l'avenir de leur musique (ça promet encore de grandes émotions, ils vont finir par me tuer de ravissement), et vraiment, elle est faite pour ça. Pour le live. C'est une chanson magnifique, avec un rythme d'une exceptionnelle beauté, vraiment originale. C'est ce que j'aime le plus chez Snow Patrol, je crois, cette capacité qu'ils ont à se renouveler sans cesse, à évoluer toujours, sans jamais s'enfermer dans un style, et toujours en s'améliorant un peu plus à chaque fois. A chaque album, on se dit "ça y est, ils ont atteint le maximum, ils ne pourront pas faire mieux". Et chaque album suivant nous démontre le contraire. Chacune de leurs chansons est unique, aucune ne ressemble à une autre, chaque album a son propre univers, et provoque en nous une émotion toujours différente. Ils sont inclassables. Et c'est ce qui est formidable.

Nous avons aussi eu droit à la petite dernière (qui a été en réalité composée il y a pas mal de temps déjà, mais bon), Just Say Yes. Comme c'est la chanson préférée de Dear Mother (et que c'est un peu à cause/grâce à elle que j'étais dans cette salle ce soir), je l'ai appelée pour qu'elle l'écoute (ça m'a permis de reposer une de mes mes pauvres mains brûlées à force d'applaudir, pendant que l'autre applaudissait sur ma cuisse ... qui en porte toujours les marques, d'ailleurs)

Luxe du luxe, après le premier rappel, nous avons eu droit à The Lightning Strike, avec la projection du film d'animation en origami (que j'avais déjà vu sur le DVD de Up To Now). C'était ... Incroyable. Cette chanson (enfin, ces chansons, puisqu'il y a 3 parties) est une vraie folie. Elle nous a fait totalement décoller, planer, partir très loin. Un pur moment de bonheur extatique. Et puis ce jeu de percussions ... C'est presque organique, biologique, on avait (enfin, en tout cas j'avais) l'impression que les battements résonnaient dans notre propre cage thoracique, que notre rythme cardiaque pulsait en même temps, comme pour l'accompagner ... Je ne sais pas comment ils ont fait ... C'est une oeuvre de génie.

Ils ont fini en enchaînant avec You're All I Have (un enchaînement très très audacieux avec the Lightning Strike d'ailleurs, tant ces deux chansons sont diamétralement opposées. Incroyablement efficace), et c'est avec beaucoup de regret que nous avons dû les laisser partir ... Le concert a filé à une vitesse folle, j'ai eu à peine l'impression d'être entrée qu'il était déjà l'heure de partir ...

Je n'arrive toujours pas à en revenir. Ces mecs sont des virtuoses. J'avais déjà vu des vidéos de live, pourtant, mais je me rends compte à quel point cela dénature leurs performances. Un peu comme la Joconde, si pâle sur ses reproductions que l'on admire pourtant dans les livres, et qui vous renverse quand vous croisez le regard du tableau original. Même aujourd'hui, alors que je regarde quelques vidéos pour tenter de revivre un peu ce magnifique moment, je suis déçue. La réalité était tellement meilleure ! Tellement sublime ! La musique parfaite, magistralement dosée, exécutée avec brio, et la voix ... Ah, la voix ... Rien à voir avec les albums, mais dans le bon sens du terme. La voix de Gary, en live, est tellement vibrante, puissante, magnifique, qu'elle vous fait dresser les cheveux sur la tête (ceux qui ont vu les miens auront une petite idée de l'intensité des dégâts). Pas une fausse note, pas un accroc, tout était d'une fluidité incroyable, même le trou de mémoire sur You Could Be Happy ! Comment est-ce possible ? Valiel et moi avions encore la chair de poule 20 minutes plus tard, en faisant la queue pour les goodies. J'ai sûrement oublié plein de choses, Valiel pourra peut-être compléter si elle passe par ici !

La mort dans l'âme (non, je n'exagère pas), Valiel et moi sommes reparties en traînant des pieds, récupérer George à la consigne (grand moment de solitude quand Valiel a été obligée de m'ouvrir la porte, qui était trop lourde pour moi et mes muscles de limace) et j'étais tellement triste que la soirée soit finie que j'ai failli oublier d'aller dévaliser la boutique ! Heureusement, je m'en suis rendue compte à temps pour faire demi-tour et j'ai acheté 2 porte-clefs (un pour moi et un pour Dear Mother), un mug, un sac et un tee-shirt, qui sont allés rejoindre l'artbook que j'avais acheté dans la salle avant le concert (le vendeur de la boutique a eu du mal à se souvenir de tout ce que je lui avait demandé ! Il m'a tendu mes achats en me disant "bon, apparemment, c'était une bonne soirée". "Non, nulle, j'ai détesté, de toute façon je n'aime pas Snow Patrol". Une des filles à côté de moi m'a jeté un regard outré ... décidément, les parisiens n'ont pas d'humour).

J'avais déjà questionné une ouvreuse (en lui laissant un pourboire pour tenter de la soudoyer) et deux vigiles pour savoir si le groupe avait prévu de faire une séance de dédicaces, mais aucun ne m'avait répondu psitivement. Seule l'ouvreuse (très gentille soit dit en passant) nous a dit, sans trop y croire, d'aller traîner du côté de l'entrée des artistes, en nous expliquant comment y aller. C'est donc sans grand espoir que nous y sommes allées, en rejoignant un petit groupe de fans (25-30 personnes environ) qui avaient eu la même idée. Une ombre qui bouge derrière la vitre, une porte qui s'ouvre, loupé, c'est un vigile. Quelques instants d'attente supplémentaire, et puis de nouveau, un mouvement derrière la vitre, et la porte qui s'ouvre une seconde fois. Valiel a réagi plus vite que moi : elle m'a empoigné le bras en me chuchotant dans l'oreille "j'y crois pas ! C'est eux !". C'était eux, oui. Tom, Jonny et Gary, apparemment fraîchement changés/douchés. Moi non plus, je n'arrivais pas à le croire. Ils sont venus ! Ils sont venus pour nous ! J'ai extirpé fébrilement mon artbook de mon sac-groupie et je me suis bravement lancée dans la cohue (j'ai eu du bol, les fans étaient tous tellement agglutinés autour de Gary que j'ai quasiment eu Tom pour moi toute seule).

Tom a donc été le premier que j'ai rencontré. J'avais peur d'avoir une réaction stupide du genre de celle que j'avais eu avec Eric Buffetaut (partir en courant au moment d'aller lui demander de me dédicacer un de ses livres), mais il m'a mise à l'aise immédiatement. C'est incroyable, j'avais l'impression de parler à un pote, je ne me suis pas du tout sentie intimidée, j'ai essayé de le remercier avec mon anglais qui chevrotait un peu (un mélange d'émotion et d'usure vocale après les deux heures passées à hurler dans l'Olympia), et il a dédicacé mon artbook (avec un petit coeur huhuhu). Du coup, détendue, je lui ai demandé s'il était possible de prendre une photo avec lui, et il a dit oui en me prenant illico par les épaules avec un grand sourire ! Raaaah c'était mon tout premier autographe, et ma toute première photo, j'aurais dû faire un voeu, tiens.

Juste après, j'ai pu aborder Jonny, tout aussi adorable (il m'a même remercié d'être venue ! C'est plutôt moi qui devait le remercier, pas l'inverse !), qui a signé (avec un stylo argenté, excusez du peu ... Parce qu'il le vaut bien) sur l'origami de mon artbook et qui a également accepté de poser avec Valiel et moi sur une photo (qu'est-ce qu'on était fières, toutes les deux !).

J'ai eu un peu plus de mal à approcher Gary de face (je tombais toujours sur son dos, je sais pas pourquoi. Enfin bon, il n'y a pas que la face, dans la vie, nous sommes dans un monde en trois dimensions, après tout) à cause de l'essaim de fans en folie qui gravitaient autour de lui (en délaissant un peu les deux autres, c'est dommage ... Snow Patrol est tout de même un GROUPE, composé de 5 membres ... Je sais bien que le chanteur est toujours un peu plus populaire que les autres, mais tout de même ... Personnellement, j'aurais vraiment été déçue si je n'avais pas pu rencontrer Jonny et Tom. Tom qui, d'ailleurs, en manque de choses à signer, s'est même mis à clamer qu'il était prêt à payer s'il le fallait, à grands renforts de "I'll sign anything !". Ce mec est vraiment extra !). Mais j'ai finalement réussi à lui tendre mon artbook, à le remercier d'être venu, un petit peu intimidée par sa taille (je lui arrivais à l'épaule, avec presque 10 cm de talons) et ... à avoir non pas une photo avec lui, mais 2 ! (une toute seule, et une avec Valiel). Le pauvre a du se pencher pour tenir sur la photo avec moi. Un peu plus tard, je me suis de nouveau trouvée devant lui, pour lui demander un autographe pour Dear Mother (en argumentant comme une idiote, "she can't be here tonight and she's soooooo sad"). Je pensais qu'il allait juste écrire son nom sur le calepin que je lui tendais (un truc extirpé de mon sac sur lequel j'écris habituellement mes rêves en me réveillant le matin et mes listes de choses à faire. La classe, quoi. Quand j'y repense ... j'aurais dû avoir honte de lui tendre ça !) mais il m'a demandé son nom (j'ai dû lui épeler parce qu'il n'avait pas compris) et il lui a mis un petit mot ! ("love from S.P."). Si c'est pas super mignon, ça !

Et puis, alors qu'on croyait être arrivés au bout de cette soirée de folie, de nouveaux hurlements psychotiques nous ont bousillé les tympans : Pablo était sorti à son tour ! J'ai eu encore plus de mal à l'approcher que Gary, je crois, sans doute parce que personne ne s'attendait plus à le voir sortir, mais j'ai tout de même réussi à avoir mon autographe (en lui donnant un stylo, un marqueur à CD que j'avais emporté à l'origine pour faire des retouches de noir sur ma robe et qui s'est finalement révélé bien utile) et ma photo avec lui ! Aaaah j'étais trooop contente !!

Malheureusement, ils ont été rappelé par les vigiles et ont dû repartir, en nous laissant avec des sourires ébahis sur nos visages et des autographes serrés comme le saint Graal sur nos coeurs. Nathan était apparemment trop fatigué pour sortir (une grosse migraine d'après ce que j'ai cru comprendre), ce qui était totalement compréhensible après la performance incroyable qu'il a fournie pendant le concert. D'autant que d'après ce que j'ai lu sur le dos de mon tee-shirt, ils devaient être dès le lendemain à Amsterdam pour deux jours de concert ! Et ils sont quand même sortis pour nous voir, signer, poser, et nous parler ... Le tout avec de grands sourires et une gentillesse incroyable. Par exemple, l'une des fans, en voulant prendre sa fille en photo avec Gary, se battait avec son appareil qui ne voulait pas fonctionner, et a tenté de s'excuser, interrompue par Gary qui lui a dit avec un sourire "I have all the time in the world". C'est ce genre de mensonges adorables (parce que non, ils n'ont pas le temps, ils sont humains, ils devaient être crevés et avoir envie de dormir avant de repartir) qui fait qu'on ne regrette pas d'avoir sacrifié quelques euros pour aller les voir et qu'on est prêt à recommencer dès que l'occasion se présentera de nouveau.

Humains, voilà, c'est le mot que je choisirais en conclusion. Tellement de gens ne le sont pas, aujourd'hui. Heureusement que quelques personnes comme eux sont là pour nous rappeler que le monde n'est pas rempli que d'égoïstes bouffis d'auto-suffisance, et qu'il existe encore des gens humbles, généreux, adorables et accessibles, qui savent honorer leurs fans et les traiter avec respect et amitié. C'est tellement rare.

Un grand moment d'amouuuur XD Il est grand, il est beau, il a un charme fou, une voix qui me fait trembler de la tête aux pieds, il est drôle, il est gentil et en plus ... il sentait bon le shampoing frais grouuuuuuuuu J'ai essayé de le kidnapper, mais il était trop grand pour moi ... XD
Et puis ce sourire quoi ... Oh la la ... ^^

C'est marrant, mais il sourit moins qu'avec nous ... je savais qu'il nous préfèrerait

Un petit profil :

Son tatouage (le nom de son ancien groupe, Terra Diablo) :

Lui aussi est très grouuuuuuu. Ah, il est super beau en vrai ^^ Ces yeux bleuuuuus miam miam miam Pis qu'est-ce que vous voulez, j'aime les chemises à carreaux XD