Interrogatoires : questions qui fâchent, pertinentes

C'est en menant des interrogatoires courts dans la première enquête du très bon opus 1 de la série Sherlock, qui n'est pas exempt de défauts sur le sujet de points de règles propres non pas au tome mais à la série générale, que par moments je m'inquiétais des réactions colériques, épidermiques de certains protagonistes interrogés si je les poussais dans leurs retranchements par exemple. Comme si une question malheureuse posée pouvait faire tourner court l'interrogatoire conduisant à avoir moins du coup d'informations sur une affaire. Ce sentiment de devoir mener habilement un interrogatoire sous peine d'échec l'avez-vous connu au cours de la série

Je l'ai faite il y a trop longtemps pour m'en rappeler. PAr contre je me souviens qe la frustration était bien plus grande de rater l'indice ou l'interrogatoire des Holmes chez Gallimard.

Pour Sherlock chez PP : quels sont les défauts des règles dont tu parles pour cette série d'après toi ?

Pour les Sherlock PP si j'ai à créer le sujet je le ferais après lecture de quelques tomes de la série dont je n'ai pour l'heure que 3 volumes sur 8.

Les soucis des règles pour les Sherlock gallimardiens ce sont entre autres ces lancers de dés qui peuvent plomber notre enquête si négatifs puisque nous privant de déductions ou d'indices capitaux, sachant que par moments des indices loupés sont reproposés plus tard. On devrait alors avoir droit aux fameux Jokers Sherlock Holmes qu'on a dans les PP .
Et je me demande si réellement les bonus positifs, négatifs qu'on attribue aux aptitudes du départ peuvent changer en cours d'aventure  comme c'est énoncé dans les règles, tout comme ces questions d'argent très peu présentes, voire de façon insignifiante puis oubliées comme c'est le cas dans le tome 2 de l'Emeraude de la Rivière Noire lorsqu'on a à payer pour un envoi télégraphique à la poste.

EDIT : le sentiment malheureux en refaisant des interrogatoires qu'on a comme un tunnel de § où le fait de poser telles ou telles questions ne modifie pas en profondeur le comportement du présumé suspect aboutissant aux mêmes conclusions ou questions sans réponses faute à de mauvais jets de dés, frustrant.

Dans le tome 1, si l'on remet en doute l'assertion d'un des suspects dans le cadre de la seconde enquête, celui-ci se braque, voit rouge et tourne casaque^^ : §

Spoiler:

- Vous vous y êtes mal pris avec lui, commente Watson. Espérons, dans votre intérêt, qu'il est aussi peu important qu'il le paraît. >> donc les interrogatoires ne sont pas tous faciles à mener en fonction des questions que l'on pose qui peuvent brusquer, si vous avez d'autres exemples je suis preneur.

Il me semble que dans l'un des tomes Un Duel dans le Yorshire, on manque de se prendre un coup de cravache par le colonel quand on accuse sa nièce d'avoir piqué l'aigle (au féminin) d'or et de rubis

Abordant Le crime du Docteur Watson 4e opus j'ai pris plaisir à réfléchir à deux fois sur certaines questions plus ou moins indiquées à poser à ce personnage de nature colérique présumé coupable de la mort de Sir Terrence car limite le fâcher c'est rapide . L'auteur de toutes façons nous énonce le corps de la question à poser avant qu'on se décide ou non à poursuivre l'interrogatoire dans cette voie.