Je suis un animal en livre-jeu !

Jouer des personnages d'animaux quelques livres-jeux le permettent : un chien fantôme dans La Malédiction des Baskerville de Dagonides, un T-Rex dans Le combat des prédateurs ou encore un loup dans L'appel de la meute ou bien un cheval dans Un destin au galop de la collection Tu es le héros chez Nathan de Madeleine Deny.

En connaîtriez-vous d'autres
Être l'animal d'une aventure vous semble-t-il une bonne immersion

Je me demande si La créature venue du chaos peut entrer dans ce cadre

Un morpion dans le string de la mort.

VIK a écrit:

Un morpion dans le string de la mort.

Oui je m'en souviens de ton AVH, une suite avait-elle été mise en chantier ; au cours d'une partie de morpions^^

Pas forcément immersif selon moi, mais l'idée d'incarner un ???-garou me semble plus intéressante.

A ma connaissance, cela n'a jamais été proposé. J'avais commencé à écrire une AVH où l'on incarne la lycanthrope du Dieu Perdu : la phase animale apporte des avantages physiques évidents mais dégrade les possibilités de choix. On perd un point de PSI à chaque transformation et chaque choix est dicté par un test de PSI tant que l'on est un jaguar.

linflas a écrit:

Pas forcément immersif selon moi, mais l'idée d'incarner un ???-garou me semble plus intéressante.

Il y a quand même "la nuit du loup-garou" de Jonathan Green qui propose ça.

Oups.. des fois je tape un peu vite...

Gagadoth a écrit:

linflas a écrit:

Pas forcément immersif selon moi, mais l'idée d'incarner un ???-garou me semble plus intéressante.

Il y a quand même "la nuit du loup-garou" de Jonathan Green qui propose ça.

Ah oui les transformations en animal bien vu, peut-être des formes autres ailleurs ?

Je te dis pas l'AVH qu'on ferait avec la Créature de l'Abîme (sorte de tyrannosaure) dans Le Labyrinthe de la Mort. Un concurrent malchanceux d'une ancienne édition du jeu, qui a bu la potion de transformation qu'il ne fallait pas... et qui depuis tente de communiquer sa détresse aux aventuriers de passage par des grognements et des hurlements qu'ils prennent pour des invitations à en découdre.

Parviendra-t-il à retrouver forme humaine...?

Dagonides a écrit:

Je te dis pas l'AVH qu'on ferait avec la Créature de l'Abîme (sorte de tyrannosaure) dans Le Labyrinthe de la Mort. Un concurrent malchanceux d'une ancienne édition du jeu, qui a bu la potion de transformation qu'il ne fallait pas... et qui depuis tente de communiquer sa détresse aux aventuriers de passage par des grognements et des hurlements qu'ils prennent pour des invitations à en découdre.

Parviendra-t-il à retrouver forme humaine...?

Dont la faiblesse mortelle est les talismans en forme de singe

Ah j'avais oublié ça. L'amulette qui grandit en bloquant sa gueule, si je me rappelle bien ?

NB après le coup du singe qui affaiblit le Roi Lézard dans le DF suivant, c'est à se demander ce que Ianou a contre ces malheureux quadrumanes. Traumatisme de la petite enfance dans un zoo ? Tristesse d'avoir perdu Ouisti / Capucin en lisant Le Dieu perdu ?

En plus dans le monde de la fantasy, le singe n'est pas exactement le premier animal qui me vient à l'esprit...

L'humain étant un singe (Homo sapiens est un Simiiforme de la famille des Hominoïdes)…

Lowbac a écrit:

VIK a écrit:

Un morpion dans le string de la mort.

Oui je m'en souviens de ton AVH, une suite avait-elle été mise en chantier...?

Une suite était prévue mais l'ampleur d'un tel projet m'a fait provisoirement renoncer. Il faut dire que cette suite devait être considérablement plus grande que le string de la mort, avec deux fois plus de paragraphes. On serait passé de 3 paragraphes à 6. Un plafond de verre psychologique.

linflas a écrit:

Pas forcément immersif selon moi, mais l'idée d'incarner un ???-garou me semble plus intéressante.

A ma connaissance, cela n'a jamais été proposé. J'avais commencé à écrire une AVH où l'on incarne la lycanthrope du Dieu Perdu : la phase animale apporte des avantages physiques évidents mais dégrade les possibilités de choix. On perd un point de PSI à chaque transformation et chaque choix est dicté par un test de PSI tant que l'on est un jaguar.

Ah, je l'adorais, cette jolie lycanthrope...

Tiens, toi et moi, on a donc tous deux commencé à écrire des AVH focalisés sur un personnage féminin secondaire aux longs cheveux noirs de ldVelh préexistant que le protagoniste rencontre emprisonnée dans une cage...

Quelle coïncidence!

Quand je lisais, petit, "Les mémoires d'un âne" de la comtesse de Ségur, je me souviens que je m'identifiais complètement au héros. Donc je ne pense pas que le fait que le perso soit un animal empêche qu'on s'y projette.
A mon avis, ce qui bloque l'identification dans les LDVELH, c'est paradoxalement l'élément qui est censé la favoriser : le "vous".
Quand on me dit "Vous pouvez faire ceci ou cela", ça me renvoie au fait que je suis un lecteur devant son livre. Je trouve plus immersive l'utilisation du "Je" ou du "Nous" (comme dans le jeu "Sherlock Holmes detective conseil").

Cadichon?

J'avais un cahier de jeu/exercice de ce personnage.

Pendant des années,je me demandais d'où il venait.

Lowbac a écrit:

J ou bien un cheval dans Un destin au galop de la collection Tu es le héros chez Nathan de Madeleine Deny.

Je l'ai justement proposé en couverture loufoque.
J'ai lu le Nathan du Loup et suis en train de parcourir celui sur le Cheval.