Parlons d'histoire

> Tashunke Witkoo, "Cheval Fougueux", ainsi appelé parce qu'à sa naissance un cheval emballé traversa le camp des Sioux Oglala.

Durant une douzaine d'années, de 1865 à 1877, Crazy Horse va combattre dans les rang des Sioux, engagés dans la grande guerre contre les Blancs "voleurs de terres". Intelligent, imaginatif, il ne tarde pas à prendre du galon. A 20 ans, il devient ainsi le sachem des Oglalas et il est l'artisan de la victoire de Peno Creek, en décembre 1866, combat que les Américains, battus, appellent Massacre Fetterman.





Une question se pose naturellement : A-t-on conservé le manuscrit de Jean-Baptiste Grisons ?

je vous conseille de regarder passionné d'histoire un excellent documentaire sur l'histoire de France réalisé par François Asselineau qui analyse l'histoire de France et la Socio-politique actuelle!!!!!!!!!

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À quoi sert l’Histoire ? À prédire l’avenir ! En rappelant de nombreux événements méconnus ou surprenants, en proposant des clés de compréhension inédites, et en replaçant 2.000 ans de notre histoire nationale dans une mise en perspective inhabituelle mais lumineuse, cette conférence stupéfiante explique pourquoi, contrairement à ce que tout le monde ressasse, la construction européenne N’EST PAS l’avenir de la France. Et pourquoi il ne faut jamais désespérer des capacités extraordinaires du peuple français à se ressaisir pour libérer la France.

C’est une conférence qui fait ressortir quelles sont les grandes constantes de l’histoire de France sur 2 000 ans, qui se sont perpétuées sous tous les régimes et malgré toutes les révolutions, qui met à jour des faits émouvants, méconnus, spectaculairement révélateurs, etc., et qui conclut, en annonçant l’avenir qui nous attend.

Personellement, je reste absolument fermé à cette "théorie" qui voudrait prévoir le futur à partir de l'histoire passée, comme ces types qui nous disent qu'on est en 1788 au niveau social ou dans les années 1930 au niveau mondial et autres fadaises du même genre. Le passé est le passé, les acteurs et les conditions (sociales, politiques, culturelles, économiques) d'aujourd'hui n'ont rien à voir avec celles d'avant, c'est aussi ridicule que de gouverner aujourd'hui avec les lois et les règles qui datent de plusieurs siècles. La France de 2012 n'est pas celle de 1789, c'est celle de 2012, point barre. Au lieu de chercher des comparaisons qui n'ont pas lieu d'être, ces types feraient mieux de penser au présent.
Il ne faut certes pas nier ou oublier ce qui s'est passé pour ne pas répéter les mêmes erreurs, mais aujourd'hui, c'est aujourd'hui, ici et maintenant.

Sphigx a écrit:

Une petite polémique. Rouget de Lisle ne serait pas l'auteur de la mélodie de la Marseillaise. Une mélodie ressemblante aurait été composée dans les années 1780 à Saint-Omer par un certain Jean-Baptiste Grisons.

> A l'époque, il n'existait pas de "copyright" et il y a beaucoup de reprises de ce genre. Le "God Save the Queen" des Britanniques, par exemple, c'est ni plus ni moins que le "Dieu sauve le Roy" de Lully composé en 1686.

Le choc... je viens d'apprendre que c'était Hugo Boss qui avait confectionné les uniformes noirs SS et celui des Jeunesses hitlériennes.

En même temps, une marque allemande créée dans les années 20, elle n'avait pas trop le choix et elle n'avait pas le recul que nous avons nous. Et il ne faut pas oublier la popularité du mouvement nazi à l'époque en Allemagne.

Porsche a fourni des moteurs pour les véhicules militaires allemands, soit dit en passant.

Le Times a élu Hitler Homme de l'année en 1938 (ou 36 je ne sais plus) également. L'horreur nazie n'est apparue au grand jour que dans les années 40.

Szalista a écrit:

En même temps, une marque allemande créée dans les années 20, elle n'avait pas trop le choix et elle n'avait pas le recul que nous avons nous. Et il ne faut pas oublier la popularité du mouvement nazi à l'époque en Allemagne.

Porsche a fourni des moteurs pour les véhicules militaires allemands, soit dit en passant.

Le Times a élu Hitler Homme de l'année en 1938 (ou 36 je ne sais plus) également. L'horreur nazie n'est apparue au grand jour que dans les années 40.

Oui c'est vrai tu as parfaitement raison, c'est beaucoup plus choquant de l'apprendre de cette façon, mais dans le contexte de l'époque, c'est différent. La plupart des généraux militaires du régime nazi ignorait totalement le but premier du régime qu'il servait. Ils ont découvert l'affreuse vérité au lendemain de la guerre...

Szalista a écrit:

En même temps, une marque allemande créée dans les années 20, elle n'avait pas trop le choix et elle n'avait pas le recul que nous avons nous. Et il ne faut pas oublier la popularité du mouvement nazi à l'époque en Allemagne.

Porsche a fourni des moteurs pour les véhicules militaires allemands, soit dit en passant.

Le Times a élu Hitler Homme de l'année en 1938 (ou 36 je ne sais plus) également. L'horreur nazie n'est apparue au grand jour que dans les années 40.

dans le même esprit, n’oublions pas le procès plus que con et débile mené par des descendants juifs, aux USA, à l'encontre de la SNCF

Hernan Cortès a écrit:

Szalista a écrit:

En même temps, une marque allemande créée dans les années 20, elle n'avait pas trop le choix et elle n'avait pas le recul que nous avons nous. Et il ne faut pas oublier la popularité du mouvement nazi à l'époque en Allemagne.

Porsche a fourni des moteurs pour les véhicules militaires allemands, soit dit en passant.

Le Times a élu Hitler Homme de l'année en 1938 (ou 36 je ne sais plus) également. L'horreur nazie n'est apparue au grand jour que dans les années 40.

Oui c'est vrai tu as parfaitement raison, c'est beaucoup plus choquant de l'apprendre de cette façon, mais dans le contexte de l'époque, c'est différent. La plupart des généraux militaires du régime nazi ignorait totalement le but premier du régime qu'il servait. Ils ont découvert l'affreuse vérité au lendemain de la guerre...

euh, tous les membres de la Wehrmacht prêtaient un serment des plus explicites, hein

Hernan Cortès a écrit:

Szalista a écrit:

En même temps, une marque allemande créée dans les années 20, elle n'avait pas trop le choix et elle n'avait pas le recul que nous avons nous. Et il ne faut pas oublier la popularité du mouvement nazi à l'époque en Allemagne.

Porsche a fourni des moteurs pour les véhicules militaires allemands, soit dit en passant.

Le Times a élu Hitler Homme de l'année en 1938 (ou 36 je ne sais plus) également. L'horreur nazie n'est apparue au grand jour que dans les années 40.

Oui c'est vrai tu as parfaitement raison, c'est beaucoup plus choquant de l'apprendre de cette façon, mais dans le contexte de l'époque, c'est différent. La plupart des généraux militaires du régime nazi ignorait totalement le but premier du régime qu'il servait. Ils ont découvert l'affreuse vérité au lendemain de la guerre...

Pour les soldats et les sous fifres ok mais les généraux savaient a mon avis.

Hernan Cortès a écrit:

Oui c'est vrai tu as parfaitement raison, c'est beaucoup plus choquant de l'apprendre de cette façon, mais dans le contexte de l'époque, c'est différent. La plupart des généraux militaires du régime nazi ignorait totalement le but premier du régime qu'il servait. Ils ont découvert l'affreuse vérité au lendemain de la guerre...

Erwin Rommel est encore honoré en Allemagne, des casernes portent son nom.

nemeion a écrit:

dans le même esprit, n’oublions pas le procès plus que con et débile mené par des descendants juifs, aux USA, à l'encontre de la SNCF

Dans cinquante ans, on va réclamer des dommages-intérêts auprès de l'arrière-petit-fils du conducteur de la locomotive.

Albatur a écrit:

Hernan Cortès a écrit:

Szalista a écrit:

En même temps, une marque allemande créée dans les années 20, elle n'avait pas trop le choix et elle n'avait pas le recul que nous avons nous. Et il ne faut pas oublier la popularité du mouvement nazi à l'époque en Allemagne.

Porsche a fourni des moteurs pour les véhicules militaires allemands, soit dit en passant.

Le Times a élu Hitler Homme de l'année en 1938 (ou 36 je ne sais plus) également. L'horreur nazie n'est apparue au grand jour que dans les années 40.

Oui c'est vrai tu as parfaitement raison, c'est beaucoup plus choquant de l'apprendre de cette façon, mais dans le contexte de l'époque, c'est différent. La plupart des généraux militaires du régime nazi ignorait totalement le but premier du régime qu'il servait. Ils ont découvert l'affreuse vérité au lendemain de la guerre...

Pour les soldats et les sous fifres ok mais les généraux savaient a mon avis.

Des hommes comme Guderian et d'autres dont j'ai oublié le nom j'ai un doute... Hitler abhorrait l'armée et il mettait à l'exécutif ses propres hommes, des membres SS... Il appliquait le diviser pour mieux régner. Je pense sincèrement que certains gradés allemand, qui étaient en désaccord sur le plan militaire avec Hitler, ignoraient l'existence de camps de concentration et la politique d'extermination du peuple juif voulu par Hitler... Il ne faut pas oublier qu'après l'attentat manqué contre ce fou, la gestapo a fait le ménage parmi l'exécutif et nombreux généraux et autres ont été fusillés ou pendus... Chacun se surveillait et se contredisait, et les généraux sur le terrain avaient toutes les peines du monde à mettre en action les directives maladroites d'Hitler depuis son bunker.

Que de commentaires intéressants ! Si vous voulez continuer, allez plutôt dans le sujet "Histoires" !

La guerre des Deux-Roses déchire l'Angleterre

En 1453, la guerre de Cent Ans qui opposait la France et l'Angleterre prend fin mais pour l'Angleterre, c'est le début d'une autre guerre, civile celle-ci, opposant deux branches de la lignée d'Edouard III : les York (rose blanche) et les Lancastre (rose rouge).

La querelle durera trente ans, ravageant le pays sans que le Parlement n'ose intervenir.

En 1461, le parti des York triomphe enfin grâce à la bravoure d'un des plus valeureux capitaines anglais : Richard Neville, comte de Warwick, lors de la bataille de Towton.


Cette victoire permet au prince d'York de devenir roi sous le nom d'Edouard IV qui, aussitôt, confie le gouvernement à Neville. Mais, en 1469, le mariage du roi sépare les deux hommes et Neville prend alors le parti de l'ancien roi Henry VI qui, depuis 1464, croupit dans sa cellule de la sinistre Tour de Londres.

Edouard IV doit céder la couronne. La lutte sanglante reprend.

Edouard défie ouvertement le comte de Warwick à Barnet, en 1471. Il en sort vainqueur et Henryi doit reprendre le chemin de la Tour de Londres, où il sera assassiné.

Edouard IV régnera encore douze ans, encourageant, malgré cette époque troublée, le commerce et les arts. C'est sous son patronage, par exemple, que William Caxton créera la première imprimerie du royaume en 1474.

Le roi meurt en 1483, c'est son fils, le jeune Edouard V, qui ceint la couronne d'Angleterre. Mais déclaré illégitime, il est déposé et enfermé à la Tour de Londres (où il disparaîtra sans qu'on sache jamais s'il fût assassiné ou pas).

C'est son oncle qui monte sur le trône en prenant le nom de Richard III.


Considéré comme un usurpateur, Richard III voit son pouvoir contesté et les Lancastre, par l'entremise de leur dernier descendant, Henry Tudor, arrière-arrière petit-fils d'Edouard III et Gallois d'origine, prennent les armes contre lui. A la tête de son armée, il bat les troupes de Richard III à la bataille de Bosworth le 22 août 1485 qui sera fatale à ce dernier.


Henry Tudor accède au trône sous le nom d'Henry VII. Puis, par son mariage avec la dernière descendante de la Maison d'York, Elisabeth, Henry parvient à réconcilier les deux branches rivales et mettre fin à la guerre des Deux-Roses.

L'Angleterre sort complètement affaiblie de cette épreuve. Sa noblesse est décimée, le Parlement est abaissé.

Henry VII doit alors faire preuve d'autorité pour relever le pays. Il sait s'entourer de conseillers tant compétents qu'efficaces. Mais aussi, avec son sens aigu des affaires, il met rapidement l'Angleterre sur de nouveaux rails et lui donne un essor économique florissant.

Henry VII est resté, dans l'Histoire, comme le premier souverain anglais des temps modernes.

Faucon de lune a écrit:

Très intéressant cette partie de l'histoire, tiens sa me rappelle un souvenir concernant l’Allemagne Nazie vous étiez au courant que la marque Hugo Boss était le fournisseur officielle des uniforme des SS a l’époque c'est pour sa que les uniforme Nazie avait une si bonne coupe.

ça ne m'étonne point...
L'armée Allemande était à la pointe dans pas mal de domaine:V1 et V2,Messerschmitt Me 262(Avion à réaction),Char Tigre,U-Boot...
Les vestiges de la Wehrmacht sont particuliérement recherché par les collectioneurs.Une simple baillonette peut se vendre à prix d'or.

Hernan Cortès en parle en page 44

Bisous quand même

Qui étaient les pères fondateurs de la IIIe République en France ?

Ceux qui fondèrent le régime républicain en France dans le dernier quart du XIXe siècle puisaient leur idéologie dans différents courants de pensée.

D'abord, ils se réclamaient de la philosophie des Lumières et notamment de Voltaire (en ignorant que Voltaire les auraient sans doute détesté) et de Rousseau.
Ils se réclament "fils" de la Révolution, par opposition à ceux qu'ils nomment les "contre-révolutionnaires", idéalisant ainsi une Révolution "idéale" et sacralisant les principes des Droits de l'Homme de 1789 en prenant soin d'ignorer les dures et tragiques réalités post 1793...

Ils se présentent aussi en hommes nouveaux différents de ceux qu'ils appellent les "vieilles barbes" de 1848 dont ils récusent l'illusion lyrique (on peut sourire à l'idée de savoir qui étaient les plus "lyriques" des deux...). Ils sont en fait imprégnés de la philosophie d'Auguste Comte, le positivisme, très en vogue au milieu du XIXe siècle et vouent un culte quasi aveugle (pour ne pas dire fanatique) à la science, au progrès, à la raison.

Ils tiennent enfin la République pour le meilleur des régimes car elle l'expression politique de leur démocratie. Aussi, est-il nécessaire, selon eux, de la défendre contre toute agression, qu'elle soit extérieure ou intérieure. Comme on parlait autrefois de Monarchie absolue, on peut dire qu'ils ont inventé le concept de République "absolue".

Leur principe tient en une phrase : "La démocratie achevée couronne le libéralisme". Une idée qui a fait son chemin à travers tout le XIXe siècle (et pas seulement en France mais dans toute l'Europe).

Et surtout, ils font de l'anticléricalisme leur cheval de bataille (et leur fonds de commerce) : adeptes du scientisme, libres penseurs, ils se recrutent bien souvent au sein d'une Franc-Maçonnerie dévoyée dont ils ont oubliés les principes d'origine. Ils répudient toute soumission à Dieu, contestent tout dogmatisme (y compris le dogmatisme juif, en cela certains républicains participeront du courant antisémite).

Toutefois, on peut malgré cela leur reconnaître un certain progressisme. Ils croient, par exemple, à la perfectibilité de l'homme et à son émancipation par l'école.
La République, assurent-ils, est promesse de bonheur et le progrès social découle naturellement de l'évolution politique.

Il suffira pourtant d'une guerre mondiale et de quelques millions de morts pour mettre toutes leurs belles théories en question.

Les Français et la Grande Guerre

> Le dimanche 2 août 1914, l'ordre de mobilisation générale est décrété. Mais il n'a pas, comme on l'a dit trop souvent, "déclenché l'enthousiasme des Français". En fait, les Français, dans leur grande majorité, ne s'attendaient pas à un tel conflit.

L'obsession de la guerre était le fait de milieux spécifiques, informés, mais pas de la masse des populations.

Et ce, y compris de l'autre côté du Rhin, chez les Allemands. Le courant nationaliste n'exaltait que des militaires impatients de réaliser les desseins de la "race germanique". En France, la même presse nationaliste cherchait à exalter le chauvinisme dans l'opinion tout en jouant sur les rivalités économiques entre les deux pays. Mais elle ne mobilisera vraiment qu'une fraction très faible de la population.

D'ailleurs, aux élections législatives du printemps 1914, la nette percée des socialistes est très révélatrice : elle marque les limites, dans le pays, du sentiment belliqueux.

Pour les nouvelles générations de la "Belle Epoque", le thème de la "revanche" n'était plus guère mobilisateur. Certes, les "provinces perdues" figuraient toujours dans les manuels d'histoire mais elles se sont estompées dans l'opinion.
Les Français de 1914 (nés dans les années 1890) sont majoritairement pacifiques et beaucoup sont étonnés en apprenant la nouvelle de la mobilisation (côté allemand, c'est le même étonnement). Ils ont du mal à croire à cette réalité, dont les causes immédiates sont très éloignées de leurs préoccupations.

Lorsque sonne le tocsin du grand départ pour la guerre, l'événement surprend les gens des campagnes (la majorité de la population) en pleine période des moissons. Personne ne croyait, ne pensait à la guerre. Sur les visages, point d'enthousiasme, mais une profonde tristesse, la consternation. Les femmes, mères et soeurs, pleurent, les vieillards se lamentent. S'il n'y eut pas de photographies pour fixer les premières réactions dans les villages, de multiples témoins, notamment les instituteurs, les ont observées et notées.

Finalement, que faire d'autre ? Les "mobilisés" se résignent et acceptent, bon gré mal gré, de partir à la guerre. Au fond, on pense qu'elle sera courte, qu'on aura même pas à brûler des cartouches, et que tout se réglera finalement par des accords entre les chefs. On rentrera vite à la maison, retrouver sa femme et ses enfants, et aider sa famille aux vendanges, au pire on sera de retour pour Noël.

Au 15 août 1914, près de 40% des hommes en pleine force de l'âge sont partis (soit 3 700 000). Parmi eux, 2 millions d'agriculteurs.
Plus de la moité ne reviendront jamais à la maison...

Hernan Cortès a écrit:

Le choc... je viens d'apprendre que c'était Hugo Boss qui avait confectionné les uniformes noirs SS et celui des Jeunesses hitlériennes.

Avant, ça s'appelait Hugo Bosch ...

C'est comme Ford, le fondateur de la marque de voiture, je vous laisse deviner quel a été son rôle pendant la 39-45

Je viens de regarder sur Wikipédia:

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Ford se consacre à l'effort de guerre « allié » en construisant des bombardiers, des jeeps, des moteurs d'avions, des chars de combat pour le complexe militaro-industriel des États-Unis.
Les usines de Ford en Union des républiques socialistes soviétiques produisent un très grand nombre de camions et autres véhicules pour l'armée rouge, tandis que l'usine allemande (Fordwerke) et l'usine de Poissy en France ont produit un grand nombre de véhicules militaires utilisés par les Nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Ford a dénié ces allégations, toutefois il est prouvé que la société avait commencé à exploiter la main-d'œuvre de travailleurs forcés et de prisonniers de guerre avant même l'institution de cette exploitation très rentable par le gouvernement nazi.


En gros, Ford a mangé dans toutes les gamelles, même la plus avariée...