Michael Crichton

nouveau sujet sur un auteur que j'admire et qui a sorti des bouquins assez excellent comme "Jurassic park", "Congo", "sphere", "next" (tous adapté en film au passage)

l'écrivain nous a quitté en novembre 2008

une oeuvre posthume vient de sortir "pirates" et ca a l'air pas mal du tout

Personnellement, même je trouve Congo lisible, le seul truc bien qu'il a écrit c'est de l'Histoire: La grande attaque du train d'or
Pirates ? Faudra voir ce que c'est.

Personnellement, j'ai lu Jurassic Park, le Monde Perdu et Abyss, et j'ai profondément adoré L'un de mes amis a été rebuté par les longues explications mathématiques sur la théorie du Chaos dans JP et le Monde Perdu, mais c'est justement ce qui m'a plu. J'aime cette recherche scientifique qu'il a mené pour écrire ses romans et les rendre plausibles ... Quand on les lit, on ne peut s'empêcher de se dire "oui ... après tout, pourquoi pas ?". Il a fait de phénomènes de fiction des histoires crédibles, et pour cela, il manquera toujours dans le monde de la littérature et du cinéma ...

Un auteur que j'apprécie, surtout Jurassic park, bon réalisateur aussi (mondwest, morts suspectes) , par contre ses idées sur le réchauffement climatique sont plus que douteuses

Et n'oublions pas qu'il fut également le papa d'Urgences

Yavanna a écrit:

Et n'oublions pas qu'il fut également le papa d'Urgences

oui une série qu'il a créée et produite

résumé de "pirates" la dernière oeuvre posthume de l'auteur publié récemment :

1665. La Jamaïque est un poste avancé de Sa Très Gracieuse Majesté, une petite colonie perdue au milieu des immenses possessions de l'empire espagnol. Port Royal, capitale de l'île, un véritable coupe-gorge où se bousculent les tavernes, les rhumeries, et autres bordels, n'est pas un endroit où s'établir si l'on veut vivre centenaire. Quand ce ne sont pas les maladies tropicales, un poignard où une hache plantés dans votre dos peuvent interrompre votre vie à tout moment. Du point de vue du capitaine Edward Hunter, cependant, la vie sur l'île est riche de promesses. Il faut juste s'y entendre un peu en matière de piraterie. Et savoir par exemple qu'au nom du roi Charles II d'Angleterre, sur tout galion mal défendu, l'or espagnol peut être saisi. Dans ces eaux, ceux qui possèdent l'or font la loi.
A Port Royal, la nouvelle circule bientôt que El Trinidad, un navire regorgeant de trésors en provenance de la Nouvelle-Espagne, est à quai dans le port voisin de Matanceros. Cette possession espagnole réputée imprenable est gouvernée par le sanguinaire Cazalla, l'un des chefs militaires favoris du roi d'Espagne, Philippe IV. Hunter met rapidement sur pied une petite équipe qui aura la mission de s'infiltrer dans l'île ennemie pour s'emparer du galion espagnol. L'aventure sera plus périlleuse encore qu'on pouvait s'y attendre, et Hunter perdra plus d'un homme avant de devoir se rendre en personne sur les rivages de Matanceros, où la jungle et les canons de l'infanterie espagnole s'interposeront encore entre lui et El Trinidad.
Avec l'aide de ses hommes et laissant quelques cadavres dans son sillage, Hunter parvient finalement à mettre la main sur le galion et échapper à l'impitoyable Cazalla, mais ses malheurs ne font que commencer.