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Sujet: Re: 13- Le combattant de l'autoroute Mar 3 Mai 2022 - 14:02
Salut les aventuriers et les aventurières, Bon c’est pas tout ça, mais je viens quand même aux nouvelles, savoir si vous avez commencé à préparer sérieusement l’apocalypse. Ben oui quoi, qu’est-ce que vous croyez ? Mine de rien, le 21 Juillet 2022, c’est dans moins de 3 mois, et vu ce que nous a prédit le père Livingstone, ça va pas être de la tarte. On s’était tous bien marrer à organiser des courses de Hoverboard le 21 octobre 2015 (vous l’avez ?), mais là, point de rigoleries, et tous à vos jerricans d’essence. Vous vous plaignez du prix actuel ? Faites quand même des réserves, à mon avis ce sera rentable. La bonne nouvelle, c'est qu'on pourra aller au Hellfest. La moins bonne, c'est qu'il faudra quand même remplir sa déclaration d'impôts.
Le point de départ du 13ème Défis fantastique est donc une apocalypse, non pas zombie, non pas nucléaire, mais virologique. Après 2 ans de pandémie, bien réelle celle-ci, je me dis que c’est le moment idéal pour relire « Le Combattant de l’Autoroute » (quel sens du timing !). Ce livre est pour moi cultissime, c’est celui qui me vient à l’esprit le premier si on me dit « Livre dont VOUS êtes de héros ». Mais entre les souvenirs d’adolescence et le présent il y a parfois un gouffre. Alors, est-ce qu’il a réussi à passer l’épreuve du temps qui passe ? Réponse le 22 Juillet…
Ha, ha je vous ai bien eu, avouez ? Je rigole bien sûr. Non, la réponse, c’est : 1 : Maintenant ; et 2 : Oui !
Franchement, cet opus est vraiment excellent. Le style d’écriture très sec convient très bien à un rythme soutenu, il n’y a aucun temps mort dans le déroulé de l’aventure. La tension est permanente, entre les combats, les rodéos mécaniques et la recherche de l’essence, c’est chaud ! Un bidon d’essence raté, et c’est l’échec assuré ! L’idée de placer une sous-quête est également très bonne, augmentant la longévité du livre si on va jusqu’au bout sans délivrer Sinclair. Un point fort également : Les combats. 3 types de combats différents, tous bien équilibrés et utilisés à bon escient, moi je dis bravo. Ce livre réussi l’exploit de retourner ses faiblesses à son avantage. C’est comme un plaisir coupable : On sait que c’est des fois un peu bancal, un peu incohérent, un peu mal foutu, mais c’est tous ces petits trucs qui donne au final un vrai charme à l’ensemble.
Mais alors, ce livre n’aurait donc pas de défaut ? Que nenni, les amis. D’abord, il n’est pas si simple que cela. Deux conditions pour réussir : Ne pas louper l’essence, zéro tolérance pour les étourdis ou les malchanceux. Et avoir des statistiques de départ quasi à bloc. A moins de 11 en Habileté, Chance et Blindage, je ne donne pas cher de votre peau. Ensuite, le retour à Nouvelle Espérance : Totalement bâclé, et qui ne respecte pas du tout le scénario de départ « Echange pétrole contre céréales ». Sans rajouter beaucoup de paragraphes, il eut été possible de rentrer par exemple en compagnie de Ambre et de quelques émissaires de Sans Angelo, qui, après avoir noué de nouvelles relations diplomatiques et commerciales, s’en retournent dans leurs pénates avec la satisfaction du devoir accompli, le tout dans une conclusion faisant un peu plus de 10 lignes.
Mais nous n’allons pas refaire l’histoire, surtout dans le peu de temps qu’il nous reste, et nous passerons donc tout de suite à la note que vous attendez tous impatiemment : Un très bon 16,5/20.
PS : Je m’étais donné un défi : Ne pas faire référence à Mad Max dans ma critique. Gagné !
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Angoissé Guerrier
Nombre de messages : 87 Age : 20 Localisation : Le Sud. Le Nord commence à Perpignan btw Profession : Étudiant Loisirs : LDVELH, jeux vidéos, bouquins divers, mes amis, troller sur Internet (en particulier le forum 18 25) Date d'inscription : 22/06/2021
Sujet: Re: 13- Le combattant de l'autoroute Mer 10 Aoû 2022 - 23:16
Nouvel ouvrage de Livingstone, des plus original qui plus est. Pire que le Covid, pire que la variole du singe, un nouveau virus (encore…) s’est déclaré, d’une toute autre trempe. Les masques et la distanciation sociale n’ont pas servi à grand-chose cette fois là car l’espèce humaine a été décimée dans sa plus grande partie. Les quelques survivants (pourquoi ont-ils survécu d’ailleurs?) se sont regroupés soit dans des villes pour maintenir un semblant de civilisation, soit dans des bandes de truands qui sèment la terreur sur leur passage. Nous sommes censés traverser des contrées hostiles jusqu’à San Angelo pour leur échanger des produits agricoles contre de l’essence. On a un véhicule surarmé à notre disposition, avec une feuille d’aventure radicalement différente pour l’occasion (statistiques, bidons d’essence, d’huile, boîtes de clous, roquettes). Les nouvelles règles sont pleinement exploitées et rajoutent un côté gestion intéressant, bon point donc
Il y a pas mal de moments intéressants : la course de l’enfer, le sauvetage de Sinclair, l’attaque du camp des Chiens de l’Enfer, celle de San Angelo. J’ai bien aimé aussi le pfa si on se fait mordre par le rat, le type qui a accompli sa mission et arrivé devant chez lui, et qui part mourir en héros dans le désert, sans se retourner… Les gens que l’ont rencontrent sont surtout hostiles, d’autres semblent prendre un plaisir fou à forcer les passants à faire des courses et des duels, cependant ils sont assez fades en général et peu sont fouillés.
Le Combattant de l’Autoroute est un OTP, il faut trouver des bidons d’essence pour continuer notre voyage sinon c’est le pfa. Après ce n’est pas bien difficile de les trouver, le vrai problème c’est le nombre assez impressionnant de test d’habileté et de chance tout le long de l’aventure qui peuvent rapidement tourner au vinaigre pour nous. Dans le meilleur des scénarios, on est même pas arrivé à San Angelo qu’on aura déjà perdu la moitié de notre chance. Les combats quand à eux sont largement faisables dans l’ensemble, surtout qu’on est bien aidé par les roquettes
Le vrai point noir, c’est que je n’ai pas accroché à l’ambiance. Les descriptions sont courtes et stériles (chose rare chez Livingstone) et de toute façon la cadre post-apocalyptique, très peu pour moi. A un moment, devoir choisir entre prendre telle ou telle sortie pour la cinquantième fois, ça gonfle quoi, finalement on est pas bien loin du sempiternel gauche/droite que l’on retrouve dans tous les donjons de cet auteur…
On regrettera aussi quelques stupidités, comme le fait que notre perso est visiblement capable de rouler et tirer à la mitrailleuse en même temps, ou encore le fait que le voyage de retour à notre ville ne prend que quelques paragraphes.
Bref, pour moi ce livre c’est globalement le même constat que Rendez vous avec la M.O.R.T : un opus avec des qualités certaines, mais une atmosphère à laquelle je n’accroche pas en toute subjectivité, et avec une jouabilité très perfectible.
Originalité/cohérence du scénario : 1,5/2 Qualité des PNJ : 1/2 Ambiance : 1/4 Pertinence/variété du bestiaire : 2/2 Moments marquants : 2/3 Illustrations/couverture : 0,5/2 Jouabilité : 3/5
Note : 11/20
Dernière édition par Angoissé le Mar 21 Fév 2023 - 2:25, édité 1 fois
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Damohl Bouche du Néant - Fils du Vide
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Sujet: Re: 13- Le combattant de l'autoroute Mar 6 Déc 2022 - 19:32
Comme nous touchons au terme de 2022, année mentionnée dans l’introduction de ce LDVELH, et comme je compte offrir cet opus à un ancien camarade d’école qui aujourd’hui tient un garage, je me suis refait Le Combattant de l’Autoroute, et je vous en livre mon ressenti.
Il s’agit de l’unique Défis Fantastiques prenant pour cadre une toile de fond post-apocalyptique. A la suite d’une pandémie (qui s’est déclarée le 21 juillet 2022, justement, en retard sur celle de COVID mais autrement plus désastreuse), la presque totalité de la population mondiale s’est vue anéantie en quatre jours. D’où effondrement de la civilisation et retour à la barbarie. Certains survivants se regroupent dans de petites villes fortifiées, coupées du monde, isolées les unes des autres, vivant en autarcie, tandis que d’autres, souvent regroupés en bandes organisées, sillonnent le pays au guidon ou au volant de leurs véhicules cuirassés et profitent de cet état d’anarchie pour semer impunément la mort et la destruction.
La plupart des forumeurs ont judicieusement pointé l’inspiration issue de Mad Max, voire de la série interactive Car Wars. Je pourrais également mentionner, dans les backgrounds présentant une similitude avec ce volume, la série de bande dessinée Jeremiah de Hermann (du post-apocalyptique mâtiné de western) ou le roman Ravage de René Barjavel (où la société du XXIe siècle fait naufrage suite à la disparition de l’électricité).
Le héros que nous incarnons habite l’un de ces îlots de civilisation : Nouvelle Espérance. Or, les autorités de cette ville viennent d’entrer en contact radio avec les habitants d’une autre localité résistant encore et toujours au chaos, la raffinerie de San Angelo. Ces survivants proposent une transaction profitable aux deux parties : échanger dix mille litres de leur pétrole contre nos excédents de céréales. Afin d’initier ce traité, notre mission consistera donc à rallier San Angelo, par des routes infestées de despérados sur roues, en conduisant une Dodge Interceptor équipée, pour surmonter les embûches de ce périlleux voyage, de toute une panoplie d’armes offensives et défensives. Après quoi, il s’agira de ramener le carburant dans notre ville de départ.
En conséquence, et pour notre plus grand plaisir ludique, la Feuille d’Aventure, outre les traditionnels totaux d’Habileté, d’Endurance et de Chance, comporte toute une partie dévolue à la gestion de notre véhicule : Puissance de Feu, Blindage, mais aussi jauge d’essence, roues de secours et différentes armes (boîtes de clous, pulvérisateur d’huile, roquettes).
Cette aventure ne manque pas d’intérêt. Au niveau du cadre, même si les descriptions restent sèches, j’ai apprécié la perspective mélancolique de ce monde abandonné, avec ses routes sans entretien ou inachevées, jonchées de carcasses en tous genres, ses bâtiments en ruine, ses champs en friche. Le sentiment de danger est omniprésent : voitures blindées, buggies, moto, side-car, jeep, break, et même un hélicoptère, surgissent sans crier gare de chaque tournant pour nous rançonner ou nous attaquer. Sans compter les mines semées sous nos pneus, les cocktails Molotov, obus, pierres et grenades que des gangsters nomades nous balancent à tout bout de champ, voire, la nature reprenant ses droits, des animaux des moins accommodants : chiens sauvages, loups, serpent à sonnettes, tarentule. Les moins agressifs de nos adversaires nous challengent dans une course automobile ou un duel au pistolet, où nous risquons de laisser des plumes. Comme nous en venons à le penser nous-même, nous évoluons dans un véritable « monde de fous ». (Mais pour les amateurs de cape et d’épée, toute allusion n’en est pas absente. Ainsi, lors d’une confrontation, on nous compare, nous et notre antagoniste à « deux chevaliers se livrant bataille lors d’un tournoi ». D’autres ennemis, à bord d’une dépanneuse transformée en char romain, sont désignés comme des « gladiateurs des temps modernes ».)
Les PNJ demeurent falots, mais il est vrai que le contexte ne se prête pas aux rencontres amicales.
On notera :
On notera la présence de mécaniciens qui nous proposent contre paiement de réparer ou de booster notre Interceptor, mais c’est à se demander comment leur garage subsiste dans un environnement si chaotique. On peut au tout début croiser un entrepreneur, Johnson, qui cherche à rallier Nouvelle Espérance après avoir perdu sa femme et son fils dans une embuscade. Et surtout, dans la partie finale, la jolie Ambre nous épaule dans le combat contre la horde des Chiens de la Mort qui assiège San Angelo. (J’ai regretté qu’il ne soit plus fait mention d’elle après que nous sommes arrivé à destination.)
Ensuite, j’avoue avoir été agréablement surpris par la jouabilité, qui n’est pourtant pas le fort de l’auteur. Si ce livre-jeu comporte nombre de défauts propres à Livingstone, ceux-ci ne sont pas pour autant poussés à leur paroxysme.
Ainsi de cette linéarité qui lui est souvent reprochée : pour arriver au but, nous devons trouver à trois reprises de l’essence, sous peine d’aboutir à un PFA de panne sèche. Mais cela n’a rien de gratuit et colle tout à fait au contexte post-apo : il est normal que le carburant soit une ressource difficile à trouver dans ce monde déliquescent. (Rappelez-vous cet épisode de la série L’effondrement où les propriétaires d’une station-service échangent de la benzine contre des vivres.)
De plus :
De plus, cet OTP n’est pas si ultime, en ce que le premier bidon d’essence peut être trouvé à deux endroits différents, ce qui, contrairement à bien d’autres œuvres de Livingstone, n’oblitère pas d’emblée nos chances de succès si nous prenons dès le premier carrefour une direction plutôt qu’une autre.
Pour les deux suivants, en revanche, plus question de choix. Pour obtenir l’un, il nous faut impérativement remporter la Course de la Mort, et l’autre ne s’acquiert que si l’on possède un objet bien précis (un tuyau, en l’occurrence, et qui nous coûte notamment 1 point d’Habileté).
On ne déplore pas non plus pléthore d’objets et d’indices à collectionner. Mais comme souvent avec notre ami Ian, je regrette que tous les objets les plus intéressants soient regroupés au même endroit, alors que les itinéraires qui nous font louper les jerricans (et donc nous assurent de l’échec) ne proposent rien qui ne vaille le détour.
Par exemple :
Par exemple, c’est dans le même village de Rocville qu’on délivre le président Sinclair, trouve un bidon d’essence, des cisailles et même, si j’ai bien compris, une barre de fer, qui tous nous seront bien utiles par la suite.
Enfin, quel réconfort, notre progression n’est pas entravée par des combats quasiment infaisables, nécessitant les caractéristiques maximales ou un objet difficile à trouver.
La plupart des combats motorisés :
La plupart des combats motorisés s’avèrent évitables, pour peu que l’on utilise judicieusement notre arsenal. Nous ne sommes même pas obligé d’affronter au corps à corps le terrifiant Animal, chef des Chiens de la Mort, nanti d’une Habileté de 11 (la plus élevée du livre).
Mais il ne faut pas non plus espérer s’en sortir avec une Habileté de 7. D’une part, les combats à l’arme à feu nous coûtent 1D6 d’Endurance à chaque blessure, et à chacune de ces confrontations nous perdons 1 point d’Habileté si nous sommes touché plus d’une fois.
D’autre part :
D’autre part, le parcours optimal ne comporte pas moins de six jets de dés impliquant l’Habileté, dont l’échec signifie automatiquement la fin de l’aventure (oui, d’authentiques « mâts »).
A un moment donné, à San Angelo, on nous demande si nous sommes nanti d’un total d’Habileté supérieur ou égal à 6. J’ai trouvé cette question complètement débile, car avec un score inférieur à 6 nous n’avons de toute façon pas la moindre probabilité d’être encore vivant à ce stade.
Sans oublier :
Sans oublier que la Chance se voit souvent sollicitée, que les occasions d’en regagner des points demeurent peu nombreuses, et qu’en certaines occasions, être Malchanceux nous pénalise lourdement (par une grosse perte de points ou un combat retors).
Après avoir réussi cette aventure, sans trop me casser la tête, et en avoir épuisé toutes les possibilités, je me suis ingénié à la refaire avec les caractéristiques les moins élevées possible.
A savoir :
Habileté : 10 Endurance : 26 Chance : 7 Puissance de Feu : 7 Blindage : 26 (Autrement dit, en faisant comme si j’avais tiré des 1 partout sauf pour l’Habileté.)
Et après une dizaine de tentatives où, en priant parfois, je n’ai fait que lancer les dés sans même plus prendre la peine d’ouvrir le livre (le connaissant par cœur), j’ai fini, avec, je l’admets, beaucoup de chance, par rallier victorieusement le paragraphe 380 (qui d’ailleurs a le mérite de durer plus que trois lignes). Mais je n’essaierai pas avec une Habileté inférieure.
Un autre bémol, déjà souligné notamment par Eporedorix, consiste dans la trame un peu bancale.
D’abord, l’introduction assure qu’en échange du carburant, Nouvelle Espérance fournira des céréales, mais il n’en est plus fait mention par la suite. Nous arrivons à San Angelo et rentrons seul, sans escorte, au volant d’un camion-citerne. En effet, il aurait été plus logique et crédible que des délégués de la raffinerie nous accompagnent, à la fois pour nous protéger des dangers de la route (le camion étant plus vulnérable que la Dodge) et pour parachever la transaction. Une fois parvenus à nos côtés à Nouvelle Espérance, ils auraient pris livraison de leurs stocks de grains et s’en seraient repartis à leur tour, si possible dans un convoi blindé, dans l’allégresse collective d’avoir accompli un petit pas vers la renaissance de la civilisation.
Ensuite :
Ensuite, le voyage retour s’avère un honteux et rébarbatif remplissage qui étire indûment la fin. Le texte cite même le plus succinctement du monde « une tentative d’embuscade mal organisée que vous n’avez aucun mal à déjouer », comme si l’auteur lui-même était pressé d’en finir. Il existe bien un touchant PFA dans lequel, atteint par la peste, nous abandonnons le camion-citerne aux portes de la ville et partons plein d’abnégation mourir dans le désert pour ne contaminer personne. Mais les rats qui nous transmettent cette maladie se trouvent dans un recoin parfaitement secondaire que rien ne nous invite à fouiller. Il faut presque faire exprès pour tomber dessus. Pour qu’ils représentent un réel danger, il eût mieux valu les placer près d’un bidon d’essence.
Au lieu de terminer par cet ultime et ennuyeux trajet, Livingstone aurait pu ajouter ou approfondir quelques péripéties (d’autant que l’aventure ne s’étend que sur 380 paragraphes) et conclure par exemple sur une homérique bataille où nous aurions pris le commandement des citoyens de San Angelo pour repousser les Chiens de la Mort (voire une idylle avec Ambre).
Mais enfin, malgré ces réserves, j’ai trouvé que ce LDVELH tient bien la route. Avec son ambiance plutôt bien rendue et sa difficulté raisonnable, il en résulte un DF divertissant et jouable. Je ne craindrai donc pas d’en faire cadeau à Yann (pas Livingstone).
14 / 20
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craft tas de fumier
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Sujet: Re: 13- Le combattant de l'autoroute Jeu 13 Juil 2023 - 3:28
Ce dont je me souviens le plus distinctement du bouquin c'est la Dodge Interceptor ainsi que le vieux timbré tenant des rats..... le contexte à la Mad Max n'est pas pour déplaire aux fans de Mel Gibson et Tina Turner ou encore des 2 premiers Fallout. Ces agréables souvenirs lui valent un généreux
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jbossu Fantassin
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Sujet: Re: 13- Le combattant de l'autoroute Lun 1 Avr 2024 - 22:57
Première aventure, pour moi, hors de l'univers fantastique avec l'entrée dans un univers post-apocalyptique à la Mad Max.
Que dire de plus par rapport aux commentaires précédents ?
Que l'aventure est bien structurée avec plusieurs chemins possibles pour arriver au but. On pourrait presque dire que c'est une aventure non OTP même si le nerf de la guerre est de trouver comment se ravitailler en essence sous peine d'échouer dans notre mission.
Cette aventure est une bonne surprise dans cette série DF.