Merci de ce coup de projecteur. Cet EB est un petit hommage personnel au roman
J'ai bien connu Icare de Hans Baumann, un livre triste et beau, que j'ai beaucoup apprécié étant collégien.
Forcément je pensais aussi...

aux illustrations des LDVEH "Chroniques Crétoises". Je n'ai lu que le tome 1 et feuilleté les autres. Le plan de mon labyrinthe s'inspire de la carte du laby des "Chroniques Crétoises" n°2, par Aneirin Lunargent)

à
Cyclades de l'ami Fitz

à l'attraction Poséidon dans le superbe quartier grec à Europa Park.

l'apprentissage du petit garçon qui devient adulte + deux épisodes du jeu, s'inspirent de
Voyage au centre de la Terre de Jules Verne.
D'autres inspirations sont plus diffuses et composites, par exemple le jeu de Senet (sorte d'échiquier) découvert dans la série TV
Lost, dans lequel j'ai introduit un piège inspiré du premier tome de "Loup*Ardent".

Le quartier grec à Europa Park : des épaves de galère, un moulin à vent à ailes en triangle.Un léger regret est de ne pas avoir développé davantage le côté steampunk avec des cordes et des rouages en bois. L'illustratrice Julie Staboszevski avait un bon feeling avec cet univers et avec les photos que je lui avais montrées pour indiquer le rendu recherché.
Croquis de l'illustratrice jeunesse Julie Staboszevski.
J'ai beaucoup apprécié son travail à partir des descriptions fournies.Pour un EB junior la limite est en nombre de signes plutôt qu'en paragraphes. De mémoire c'est 80 000 signes maxi (quatre fois moins qu'un EB adulte) donc mécaniquement tu tournes autour de 100 paragraphes, sauf s'ils sont expéditifs.
Ecrire un EB enfants a ceci de satisfaisant que c'est un livre dont vous êtes le héros tel qu'on se le représente, avec paragraphes numérotés et liens par « rendez-vous au », ce qui est plus simple que la structure des EB adultes, plus contraignante à l'écriture.